According to a doctor (A.M.) about another doctor (Résimont) about another doctor (Eric Müller) :
IN PRACTICE:
- Blood test for vitamin D3 levels:
If deficient (<60): start with 40,000 IU per week, then retest in 3 months.
If normal (60-80): maintenance dose at 30,000 IU per week.
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A simple combined deficiency in vitamins D and K can increase your risk of death by 46% [1].
Understand this: 46%!
This is the shocking conclusion revealed by the PREVEND study.
A grim finding, obtained after 21 years of analysis on 4,742 people [1].
After 21 years of research, scientists made a startling discovery…
It all began in 1997, when 4,742 people were selected to participate in the PREVEND study (Prevention of Renal and Vascular End-stage Disease) [1].
The choice of candidates was made carefully to avoid collecting erroneous information. They were chosen from among 40,856 inhabitants of the city of Groningen (Netherlands), after several specific tests: health check-ups, blood tests, and urine analyses.
These examinations were essential to exclude people already suffering from chronic conditions or serious diseases that could have skewed the study’s results [1].
Aged between 40 and 64, the selected participants were followed, on average, for 14.2 years. Data collection for analysis took place over 21 years [1].
The study was thus conducted on a large sample to obtain highly precise data.
42% higher risk of dying from cardiovascular disease
When the study concluded in 2018, 620 participants had died (13% of the sample), 21% of them from cardiovascular disease [1].
Among the 4,742 candidates, 20% had both low vitamin D and K levels. These people also had a 46% higher risk of all-cause mortality [1].
Another stunning finding: the deficient group also had a 42% higher risk of cardiovascular mortality.
Among them, 466 participants experienced a cardiovascular event (fatal or non-fatal).
This represents 3 times more than those who received supplementation with vitamins D and K [1].
While vitamin D deficiency is well-known, especially in winter and among the elderly, vitamin K deficiency is much less recognized.
Yet, the conclusions of the PREVEND study are unequivocal. They highlight the importance of nutritional deficiencies and their direct impact on our health.
Vitamin K: a more common deficiency than you might think
There are several reasons why your vitamin K levels might drop. While liver, bile, or intestinal diseases are often mentioned, they are not the only causes [2].
Taking various medications can alter your levels: anticoagulants, antibiotics, or anticonvulsants [3].
However, the most common reason for a deficiency is your diet. Unfortunately, not only does your body poorly absorb it, but there are also very few foods rich in vitamin K.
And the food that contains the most is probably not in your kitchen.
It’s natto, a traditional Japanese dish made from fermented soybeans. An exotic product rarely found in stores [4].
3 out of 4 French people lack vitamin D
The consequences of low vitamin D levels are well known.
Yet even today, 75% of French people suffer from a deficiency. That’s three out of four people [5]!
Surprising numbers when considering the 744 studies that demonstrate the harmful effects of a vitamin D deficiency on our health [6].
But also understandable figures when you know how this vitamin is actually absorbed by your body.
Because the only real way to boost your levels is to sunbathe during peak hours (between 12 p.m. and 2 p.m.) for 10 to 20 minutes a day [7].
However, sunbathing is difficult (if not impossible) in the fall and winter when you’re wrapped up in your coat, hat, and scarf…
So, what are your options for getting enough vitamin D during this time?
Eating fish won’t save you
The correct dosage of vitamin D depends on the individual, but on average, you start benefiting from its effects with 600 IU per day. After age 70, it’s recommended to increase to 800 IU [8-9].
(NOTE FROM DR. RÈSIMONT: read 6 to 10,000 IU/day)
Unfortunately, in winter, your diet won’t help much.
You often hear, mistakenly, that to load up on vitamin D, you should consume fatty fish like salmon, smoked herring, or grilled trout… but in reality, the amounts they contain are not enough to optimize your needs [10].
During this time of year (when sunbathing is impossible), it’s better to turn to supplements.
And after discovering the PREVEND study, I strongly recommend opting for a supplement that combines both vitamins D + K. Many labs offer them, so you’ll find them easily available for purchase.
And you, do you monitor your vitamin D and K levels?
Feel free to share your tips and thoughts on supplementation by leaving a comment.
Best regards,
Eric Müller for NEONUTRITION
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EN PRATIQUE:
Dosage sanguin vit D3:
- Si déficit (<60) : commencer à 40000 UI par semaine, puis redoser dans 3 mois
- Si dosage normal: (60-80): dose d entretien à 30000 UI PAR SEMAINE
En général :
- Vit D3 : 40000 UI par semaine en 4 prises qd déficit
Puis 30000 UI par semaine en entretien
dosage entre 60-100 ng/mL : AU COURS DU REPAS (meilleure absorption) - Vit K2 : 90-180 microg/jour (favorise action vit D3 avec absorption Ca et fixation sur les os) AU COURS DU REPAS
- Zinc biglycinate > picolinate : 22-40mg/jour, ne pas dépasser 40mg MATIN A JEUN (à distance 15-20mn)
- Magnésium citrate : 300-400mg/jour PLUTOT LE SOIR (détente musculaire pour dormir)
Original text:
Un simple déficit cumulé en vitamines D et K peut augmenter de 46% vos risques de mourir [1].
Comprenez bien : 46% !
C’est la conclusion effarante que l’étude PREVEND vient de révéler.
Un terrible constat, obtenu après 21 ans d’analyses auprès de 4 742 personnes [1].
Après 21 ans de recherches, les scientifiques font une découverte stupéfiante…
Tout a commencé en 1997, lorsque 4 742 personnes ont été sélectionnées pour participer à l’étude PREVEND (Prevention of Renal and Vascular ENd-stage Disease, en anglais) [1].
Le choix des candidats a été établi avec précaution, afin de ne pas collecter des informations erronées. Ils ont été choisis parmi 40 856 habitants de la ville de Groningen (Pays-Bas), après plusieurs tests spécifiques : bilan de santé, bilans sanguins ou encore analyses urinaires.
Des examens indispensables afin d’exclure les personnes déjà atteintes d’une pathologie chronique ou d’une maladie grave, qui aurait pu fausser les résultats de l’étude [1].
Âgés entre 40 et 64 ans, les participants sélectionnés ont été suivis, en moyenne, sur 14,2 ans. La collecte des informations à analyser s’est quant à elle établie sur 21 ans [1].
L’étude a ainsi été faite à partir d’un large échantillonnage, afin d’obtenir des données très précises.
42% de risques en plus de mourir d’une maladie cardiovasculaire
Lorsque l’étude s’est terminée en 2018, 620 participants étaient décédés (13% de l’échantillonnage), dont 21% d’une maladie cardiovasculaire [1].
Parmi les 4 742 candidats, 20 % cumulaient un faible statut en vitamine D et K. Ces personnes avaient également 46% de risques plus élevés de mortalité toutes causes confondues [1].
Autre information stupéfiante : le groupe en déficit présentait aussi un risque plus élevé de mortalité cardiovasculaire de 42%.
Parmi eux, 466 participants ont eu un accident cardiovasculaire (mortel ou non mortel).
Cela représente 3 fois plus que les personnes ayant reçu une supplémentation en vitamines D et K [1].
Si le déficit en vitamine D est bien connu, en particulier en hiver et chez les personnes âgées, celui de la vitamine K l’est beaucoup moins.
Pourtant les conclusions de l’étude PREVEND sont sans équivoque. Elles rappellent même l’importance des carences nutritionnelles et les répercussions directes sur notre santé.
Vitamine K : un déficit plus courant qu’on ne pourrait le croire
Il existe plusieurs raisons qui font baisser vos niveaux en vitamine K. Si souvent, certaines maladies du foie, de la bile ou de l’intestin sont évoquées, elles ne sont pas les seules causes [2].
La prise de divers médicaments peut altérer vos taux : anticoagulants, antibiotiques ou encore anticonvulsivants [3].
Cependant, la raison la plus courante d’un déficit n’est autre que votre alimentation. Et malheureusement, non seulement votre organisme l’assimile mal, mais en plus, il existe peu d’aliments riches en vitamine K.
Et celui qui en contient le plus ne se trouve probablement pas dans votre cuisine.
Il s’agit du natto, un aliment traditionnel japonais à base de haricots de soja fermentés. Un produit exotique peu commun que vous pouvez acheter dans très peu de magasins spécialisés [4].
3 Français sur 4 manquent de vitamine D
Les conséquences d’un faible taux en vitamine D sont bien connues.
Pourtant encore aujourd’hui, 75% des Français souffrent d’un déficit. Cela représente trois personnes sur quatre [5]!
Des chiffres surprenants lorsqu’on considère les 744 études qui démontrent les répercussions nocives d’un manque de vitamine D sur notre santé [6].
Mais des chiffres aussi compréhensibles lorsque vous savez comment est réellement assimilée cette vitamine par votre organisme.
Car la seule véritable solution pour augmenter vos niveaux est de faire des bains de soleil aux heures les plus fortes (entre 12h et 14h), durant 10 à 20 minutes par jour [7].
Des bains de soleil difficiles, (voire impossibles), à pratiquer en automne et en hiver lorsque vous êtes emmitouflé sous votre manteau, votre bonnet et votre écharpe…
Alors quelles sont vos solutions pour faire le plein de vitamine D durant cette période ?
Manger du poisson ne vous sauvera pas
Le bon dosage de vitamine D dépend de chacun, mais en moyenne vous commencez à bénéficier de ses vertus à partir de 600 UI par jour. Après 70 ans, il convient d’augmenter à 800 UI [8-9].
( REMARQUE DU DR RÈSIMONT : lire 6 a 10000ui/jour )
Malheureusement, en hiver, votre alimentation ne vous sera d’aucun secours.
Car vous entendez partout à tort, que pour faire le plein de vitamine D, il faut consommer des poissons gras comme du saumon, du hareng fumé ou des truites grillées… mais en réalité, les apports qu’ils contiennent ne suffisent pas pour optimiser vos besoins [10].
Durant cette période de l’année (où les bains de soleil sont impossibles), mieux vaut vous tourner vers les compléments alimentaires.
Et après avoir découvert l’étude PREVEND, je vous conseille vivement d’opter pour une supplémentation qui combine les deux vitamines D + K. Beaucoup de laboratoires en proposent. Vous en trouverez donc facilement en vente.
Et vous, avez-vous l’habitude de surveiller vos taux de vitamines D et K ?
N’hésitez pas à partager vos astuces et vos avis sur votre supplémentation en laissant un commentaire.
Bien à vous,
Eric Müller pour NEONUTRITION
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