La fin du chef d’oeuvre Metropolis, une exploration de la conscience et de l’identité, baignée de jazz, hommage au film de Fritz Lang de 1927, de la question sociale et l’oppression des peuples, qui était premier film inscrit au [registre national de la mémoire du monde de l’UNESCO->http://portal.unesco.org/ci/fr/ev.php-URL_ID=17572&URL_DO=DO_TOPIC&URL_SECTION=201.html].
Ca ne se voit peut-être pas comme ça, mais ce passage est plein d’émotion ; ce qui y est détruit a été construit pendant tout le film, les personnages qui disparaissent sont bien sûr les héros auxquels nous nous sommes attachés de part la recherche d’identité, le courage, l’amour …
[D’ailleurs->http://www.lemonde.fr/culture/article/2010/02/13/metropolis-tel-que-le-voulait-fritz-lang_1305328_3246.html]